Quand j’étais gamine, j’étais folle du parfum de mon père. Il s’étonnait que ses flacons du Mâle se vident si rapidement et soupçonnait mon petit frère de lui siffler en douce ( Papa si tu me lis, c’était moi )( Bulon si tu me lis, c’était moi aussi ). Par contre je boudais les parfums trop féminins, je ne me sentais…