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( PÉROU Jour 2 ) Panne de réveil, otaries, guano et îles Ballestas.
( PÉROU Jour 2 ) Panne de réveil, colonie d’otaries, guano et îles Ballestas.

( PÉROU Jour 2 ) Panne de réveil, colonie d’otaries, guano et îles Ballestas.

Pérou voyage circuit îles Ballestas réserve naturelle Paracas Pisco

Il y a un mois ( #NanaEnRetard ), je vous racontais les préparatifs, le voyage en avion et mon arrivée au Pérou dans ce billet. Il était très grand temps que je vous raconte la suite de mon périple péruvien, surtout que notre second jour fut l’un des plus denses du circuit ! Un signe qui ne trompe pas : la quantité de photos. A peu de choses près, j’égalais mon record établi au Macchu Picchu quelques jours plus tard.

Alors comme j’ai opéré une sélection drastique dans mes clichés (mais qu’il en reste un énorme paquet quand même ) j’ai décidé de scinder cette seconde journée en deux billets. Car il était pour moi hors de question de soustraire à mes articles les trésors que recèlent les Îles Ballestas… Mais avant cela, la journée commença sur les chapeaux de roue avec :

Une panne de réveil :

( pour vous rafraîchir la mémoire, un petit passage s’impose ICI )

3h30 –  Je me fais réveiller par ma coloc’ qui me secoue par les pieds. Je retire péniblement mes boules Quiès et constate qu’elle a allumé la lumière. Je devais vraiment être K.O pour ne pas m’être levée en sursaut lorsqu’elle a allumé.

La pauvre a l’air complètement paniquée et me dit :  » Lucie, il est 3h30. La réception de l’hôtel devait nous téléphoner à 3 h pour nous réveiller mais…Ils n’ont pas appelé ! »

Branle-bas de combat dans la piaule. Il nous reste précisément 30 minutes pour :

  • ranger toutes nos affaires déballées la veille dans les valises ( en fait il ne nous reste que 10 minutes pour cela, les grooms se chargent de transporter nos valoches jusqu’au car à 3h40 précises. )
  • préparer un petit sac avec nos indispensables pour la journée. ( dans mon cas, l’absolue nécessité consistait en un rouleau de PQ – j’ai pu de mouchoirs – et de boules Quiès pour pioncer dans le car )
  • nous réveiller vraiment. Je veux dire vraiment. A grands coups de jets d’eau froide dans la tronche s’il le faut.
  • aller prendre notre petit-déjeuner.
  • nous laver les dents. Enfin surtout moi.. ( J’ai en effet constaté que ma coloc ne s’est pas brossé les dents DU TOUT pendant notre circuit. Non non, pas une seule fois. Ni le matin, ni le soir. #bwerk. )

Contre toute attente, je relève le défi.

Pas haut-la-main. Mais je l’ai fait les gars.

Evidemment, tout le monde nous voit débouler dans la salle de petit-déjeuner 10 minutes avant le départ du car donc on se prend pas mal de moqueries dans la pomme. Alors on s’est pas réveillééééées ?

Faut dire que j’ai pas l’air bien fraîche.

Je décide de me remplir l’estomac car vu l’heure fort matinale, je sens que la journée va être longue, et le déjeuner loin. J’ai donc établi mon record personnel en engloutissant deux tasses de café, deux jus de fruits, deux parts de cake et des tartines de miel en quelques minutes. Pour moi qui ne mange quasiment rien d’ordinaire au petit-déjeuner, ça fait tout drôle croyez-moi. Mais le jeu de yoyo des hôtesses de l’air qui semblait jouer avec la climatisation comme avec une GameBoy a eu raison de ma gorge et en plus des tartines, je lape 2 pleines cuillères de miel pour me soulager.

Un collègue me glisse qu’il faut chiper du pain en prévision de notre première visite. Vu que je n’ai toujours pas lu le programme et que je suis la championne du charpadage de bouffe je prends trois tranches de brioche, j’enfile mon sac à dos et je fonce au car. Je suis (évidemment) la dernière à monter dedans.

C’est parti pour 4 heures de..trajet. 😒

Ma coloc est assise à côté de moi et dès les premières minutes, j’ai mal au cul.

Littéralement j’veux dire.

Oh le car est vraiment chouette hein. Même le simili cuir sent le plastique tout neuf. Mais quand tu t’es fait opérer de la raie 3 semaines avant, ça tire un peu tu vois. D’autant que la conduite sur les routes péruviennes s’apparente à tout, sauf à de la conduite. C’est un sport à part entière. La sécurité auto ? Euh...No conozco. ( = connaîs pas. )

C’est l’occasion de découvrir les taxis péruviens, sorte de scooters à trois roues aménagés à l’arrière avec une banquette. Ils sont de toutes les couleurs et ils se faufilent partout. Absolument PARTOUT. Quand tu crois que ça passe pas et que les deux bus côte à côte s’apprêtent à faire un sandwich de taxi, ça passe quand même et le mec s’en sort indemne. Un truc de dingue.

Mais du coup, la conduite du chauffeur de car s’en ressent un petit peu ( jolie litote ). C’est qu’il faut piler pour éviter de s’en cogner un qui zigzague. J’ai mal au cul. Mais c’est pas grave. Ah et je dors à moitié assise, aussi. Allez courage, il n’y a que 300 kilomètres à faire subir.

6h30 – Accident de car évité de justesse. Avec le choc, mon rouleau de PQ s’échappe du filet où il était retenu et roule dans l’allée du car. #LaHonte

La trouille et la honte a au moins eu le mérite de me sortir de mon semi-coma.

6h45 – Première apparition du soleil. Vous saviez qu’au Pérou, quelle que soit la période de l’année, le Soleil se lève vers 6h et se couche à 18h ? Ca fait des réveils très matinaux et une pénombre qui tombe très vite. Un coup à prendre.

Notre guide Marco ( qui lui aussi, se réveille tout doucement ) profite du trajet pour nous en apprendre davantage sur la civilisation Inca. En langue inca, le peuple se dit Quechua. Ca rappelle forcément quelque chose à tout le monde.  Quand le guide nous révèle que les vêtements de cette marque sont recherchés au Pérou car pas d’enseigne Décathlon dans le pays, et que si on en a à vendre, il est preneur, je m’abstiens de lui révéler que mes chaussures de randonnée, ma veste et mon pantalon sont estampillés de la gamme connue de Décathlon. C’est un coup à finir à oualpé avant la fin du circuit. ( ou en slip ).

Nous apprenons aussi qu’au Pérou, la journée commence par les feuilles de coca et la prière. Les feuilles de coca sont une tradition ancestrale, qui n’a rien à voir avec la drogue de Pablo ( Escobar hein, pas Picasso ). Au Pérou, on lit sa journée dans les feuilles de coca, et on machouille également ces feuilles surtout dans les montagnes. La cocaïne est en réalité de la coca transformée par des processus chimiques, et « coupée » avec des substances dangereuses. Les feuilles de coca sont juste…une plante.

Je suis d’abord sur la réserve, mais le reste du séjour me montrera que la coca, c’est bon.

Vers 8h30, notre car s’arrête enfin pour :

La visite des Îles Ballestas

 

C’est précisément la beauté de ne PAS lire le programme prévu : la découverte et la surprise sont totales. Aussi, quand au début nous nous approchons d’un grand bâtiment de plain pied avec ses portes ouvertes et ses dizaines de tables et chaises, je crois d’abord qu’on s’arrête juste pour une pause pipi-café-clope-caca ( pas forcément dans cet ordre ).

Nous pénétrons la grande pièce : il y a effectivement un bar où 99% de mes collègues se ruent pour espérer décrocher le sésame : un grand gobelet de café serré. Notre première dégustation de café sur le sol péruvien se résumera d’ailleurs en trois mots : beurk, c’est dégueulasse.  ( je crois que pendant nos 10 jours, on a dû boire 2 vrais bons cafés – et Dieu sait qu’on en a sifflé ! )

Nous traversons ensuite la grande salle pour découvrir un magnifique point de vue sur le port de pêche de Caracas. 

Et c’est donc notre première vraie rencontre avec l’Océan Pacifique ( qui n’a de pacifique que le nom d’ailleurs) ( on en reparlera dans la suite de mes aventures. )

Attention, ça y est je commence à balancer trouze mille photos, les gars.

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Nous observons déjà quelques espèces d’oiseaux qui pêchent ou se promènent tranquillement près du rivage. Mais ce n’est rien comparé à ce qui nous attend par la suite…

Pour l’heure, nous savourons la présence du soleil et notre café dégueu. Je crois que ça y est, tout notre groupe réalise qu’on est au Pérou ( y’en a qui sont plus longs à la détente que d’autres, que voulez-vous ).

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J’adore observer et photographier ces petits bateaux de pêche colorés. Quand tout à coup, notre guide qui avait disparu pendant la pause café nous hèle : direction l’embarcadère pour monter à bord d’un bateau rapide. Mais dîtes on est vraiment obligé d’enfiler ce gilet de sauvetage orange fluo ? Oui ?

Vous êtes sûrs ?

Bon bon.

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Au départ, la ballade est sympa puisque nous naviguons tranquillement pour sortir du port. C’est l’occasion de constater que le paysage a bien changé depuis notre départ de Lima. Ici, nous sommes entourés de déserts sauvages et arides, et on a parfois du mal à distinguer les dunes de sable des montagnes. C’est de toute beauté, et j’ignorais parfaitement qu’on rencontrait ce type de climat et paysages au Pérou. D’ailleurs nous avons l’occasion d’admirer pendant notre trajet le Chandelier des Andes, une étrange figure gravée sur un flanc de colline. On prétend qu’il aurait été dessiné par ceux qui ont réalisé les lignes de Nazca.

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Moi qui dis en plein trajet « woooAAAA il est beau ce cactus !!! ».

Soudainement, notre bateau prend de la vitesse. L’engin doit avoir environ un million de chevaux sous la coque. Ca décoiffe et bordel à cette vitesse, il fait frisquet. Je mets ma capuche. Ca + le gilet orange = le look est complet. Nous verrons beaucoup de vautours dans les airs, et si ces volatiles peuvent coller les jetons, moi je les trouve majestueux.

Tout à coup, nous passons près d’une petite île où réside une colonie de pélicans. Je n’en ai jamais vu de si près et surtout une telle densité de population. J’aime cette immersion totale dans la nature sauvage. Le dépaysement est complet et j’ai du mal à croire que la veille, j’étais encore à Paris.

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Et sur ma photo, on n’en voit que 10%, de la colonie. Mais j’aimais trop ce pélican qui ouvre tout grand le bec.

Nous continuons encore quelques minutes avant de voir se dresser devant nous la Réserve naturelle des îles Ballestas. 

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Il s’agit en réalité d’un archipel de petites îles peuplées par une énooooorme quantité d’oiseaux. C’est bien simple : on qualifie même ces îles de réserve ornithologique.

En effet, la quantité de poissons dans les eaux est tellement conséquente qu’elle attire un très grand nombre d’oiseaux d’espèces différentes mais aussi des otaries. Nous aurons même la chance de voir un lion de mer ! 😍

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Le guide spécialiste de ces îles nous explique que plus de 600.000 oiseaux vivent sur ces îles protégées et que naturellement, la quantité de guano y est très importante. Le Pérou en profitera au XIXe siècle pour l’extraire et s’en servir d’engrais naturel, allant même jusqu’à en exporter vers l’Europe et l’Amérique du Nord tant les quantités sont importantes ( on en trouvait jusqu’à 30 mètres de profondeur ). Aujourd’hui, la « récolte » de guano existe toujours mais est très règlementée pour ne pas perturber la biodiversité et l’écosystème régnant sur ces îles. Mais il faut savoir que la crotte d’oiseau a longtemps été la source de revenus la plus profitable de toute une région du Pérou.

Dès que notre esquif s’approche de la première île, nos naseaux en prennent pour leur grade. Mais on s’habitue très vite à l’odeur de guano, puisque la beauté des lieux nous fait oublier tout désagrément olfactif…

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Nous sommes d’abord accueillis par quelques manchots de Humboldt qui iront ensuite faire trempette sous nos yeux attendris. Si on m’avait dit que je verrais des manchots au Pérou, je n’y aurais jamais cru ! Il y a même des bébés 💓.

Mais ceux que nous ne pouvons pas rater, ce sont bien entendu les oiseaux, premiers habitants de ces îles, qui volent en nombre au-dessus de nos têtes et nous font craindre des attaques molles, blanches et odoriférantes .#bwerk ( j’ai gardé ma capuche tout du long. )

Parmi eux, on retrouve bien entendu des pélicans, mais aussi des vautours et des cormorans à tête rouge qui se dressent fièrement sur des montagnes de guano.

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Après être passés sous une arche naturelle et en contournant l’une des petites îles, nous tombons soudain sur les otaries. Il y en a des dizaines !! Elles n’ont pas l’air du tout intimidées par notre présence. Pourtant nous sommes très proches d’elles. Elles se prélassent au soleil et piquent parfois une tête. Un peu comme moi lorsque je suis à la plage.

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Nous aurons même la « chance » d’en voir une revenir avec..un oiseau mort dans la gueule. ( ça mange des oiseaux les otaries ?! 😲 )

Elles semblent se reposer par petits groupes. Soudain nous entendons l’un des mâles bêler ( wiwi, une otarie bêle au même titre qu’un mouton )( mais ça fait pas le même bruit ). Je peux vous dire que ça surprend car son cri d’appel est puissant. Une autre otarie mâle lui répond de l’autre côté des îles. Un dialogue d’otaries dans leur milieu naturel, c’est vraiment génial 💙.

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Saurez-vous compter le nombre d’otaries sur cette photo ?
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La Castafiore.
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Non mais matez-moi cette bouille trop craquante.

 

Est-il utile de préciser que je trouve la trombine moustachue de ces mammifères marins complètement craquante ? Je ne pense pas.

J’avais déjà vu des otaries au zoo bien sûr, mais les admirer en liberté totale dans leur habitat naturel, croyez-moi que c’est autre chose. Et ça vaut tous les spectacles avec cerceaux et dresseurs du monde.

Pour ma part, ça m’a presque émue aux larmes de les voir évoluer ainsi sur ces îles. ( je suis bien trop sensible. )( mais que voulez-vous, quand je me dis que la folie de l’Homme pourrait un jour les faire disparaître…).

Tout à mon admiration de ces beautés marines, je vois soudain une otarie solitaire qui entreprend de grimper un versant d’île à-pic. Et bien, je peux vous dire qu’elles en ont sous la nageoire, les otaries.

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Même pas dur. Et toc.

Et elle est bien arrivée en haut, sans aucun bobo.

Evidemment lorsque j’ai vu une telle densité de population, j’ai demandé au guide s’il y avait des dauphins dans ces eaux. La réponse fut positive, mais j’ai eu beau scruter la surface pendant de longues minutes, je n’ai pas vu le moindre centimètre de nageoire dorsale émerger de l’eau.

Mais c’est pas grave. Je ne suis pas déçue pour un sou tant la présence de ces 4000 otaries et 60 espèces d’oiseaux différentes m’enchante déjà au plus haut point.

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Après une heure passée à écouter notre guide et (surtout) à admirer la faune environnante, il est déjà temps de retourner au port. Pendant le trajet retour, je profite du soleil, j’admire le paysage et je compte le nombre de bombardements sur les gilets de sauvetage ( ou pire ) de mes collègues. Pour ma part, j’ai eu la chance de passer entre les gouttes, mais tout le monde ne peut pas en dire autant, surtout celui qui s’en est pris une sur l’oreille.

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Ma photo est floue mais les milliers de tâches noires que vous observez sont bien des oiseaux.

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De retour au port de Paracas, je fonce aux toilettes puisque cette connasse de Dame Nature avait décidé que les anglaises débarqueraient quelques jours avant mon départ au Pérou. Je pique même un sprint lorsque je vois un gros groupe de touristes asiatiques se diriger vers les toilettes. Je file donc vider ma cup aux wécés pendant que le groupe féminin est exagérément bruyant ( ce qui est plutôt commode lorsque tu dois euh…émettre toi-même des bruits)( rhooo allez arrête, on est toutes les mêmes hein ) et prends soin de la nettoyer grossièrement avec du papier avant d’aller la rincer dans les lavabos collectifs. Je peux vous dire que les coupes menstruelles ne doivent pas être bien connues en Asie car le groupe s’est totalement tu lorsqu’ils ont aperçu mon bout de silicone ( que je tentais pourtant de planquer ). On aurait entendu une mouche péter. ( ah non, c’était Claudine ).

Moi je dis qu’il y a un marché à prendre en Asie, les filles.

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En route vers le désert

Après cette première immersion en Péruvie, on réalise que ce circuit qui débute est plein de promesses et de belles surprises. Car nous sommes très loin d’avoir vu tous les paysages, et toutes la faune et flore péruviennes…Pour l’heure, une dégustation d’alcool local ainsi qu’un déjeuner nous attendent à quelques minutes en car, et nous commençons à souffrir de la chaleur : il fait près de 40°C dans les terres arides…

 

Ai-je survécu à la dégustation de Pisco ? A la chaleur ambiante qui m’a donné des envies de meurtre envers notre voyagiste ( celui-là même qui nous conseilla de blinder nos valises de polaires et vêtements chauds ?) Quel fut le programme de l’après-midi ?

 

Vous le saurez dans le prochain épisode !




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