En mars dernier, je dévorais avec délectation mon tout premier roman de GILLES LEGARDINIER, un auteur français un peu touche-à-tout dans le domaine des Arts. A son actif, plusieurs casquettes : celle de pyrotechnicien puis celle de réalisateur de documentaires et bandes-annonce. Le sieur s’est ensuite pleinement consacré à l’écriture. Autant dire qu’il a un sacré CV, le Gilles. (…
Il existe de ces films dont on n’a jamais entendu parler, mais qu’on s’empresse d’acheter en DVD un jour de loose car le titre promet de nous dérider un peu.
L’avantage avec une galette inconnue, c’est que personne ne vous a jamais raconté la fin et que comble du bonheur, personne ne vous a jamais gratifié d’un t’aimes ce film, cette grosse daube? puisque nul être humain à part vous peut se vanter de l’avoir visionné.
Et la réflexion suivante hante mon esprit : si être pouffe, c’est ressembler aux 2 actrices principales de ce film, je veux bien être une pouffe jusqu’à mes 77 ans, l’âge légal auquel on arrête de Lire la suite
Musclor possède d’ énormes qualités ( je ne parle pas de celle située en-dessous de la ceinture ) dont celle d’être cinéphage. En effet le cinéphile possède sa carte UGC Illimitée et peut donc se gaver d’oeuvres cinématographiques sublimes et de grosses daubes à la pelle, tandis que le cinéphage assume totalement sa dépendance au septième Art et n’hésite pas à claquer 10 € à…
Enfin calées dans leurs fauteuils de ciné, Lupouffe et ses copines attendent impatiemment l’arrivée de la troupe de danse qu’elles sont venues soutenir, lors de l’avant-première du film TOI, MOI, LES AUTRES .
En effet avant projection, puis débat avec la réalisatrice et les acteurs, un concours de danse est organisé : la troupe qui recevra le plus de votes sur Facebook à travers les cinémas dans lesquels sont projetées les avant-premières du film aura le privilège de danser à Bercy.
Lupouffe est excitée car c’est la première fois qu’elle assiste à une avant-première ^^ .
Lupouffe est dubitative, aussi.
Pas tant pour la première partie où elle va s’époumoner pour encourager la petite troupe de jeunes danseuses, mais surtout pour le film qui sera Lire la suite
J’ai profité de l’été 2011 et de la désertification de Paris par les autochtones pour m’engouffrer le soir venu dans des salles de ciné bien fraîches. Mais uniquement pour me gaver de comédies. Un soir, je réussis à convaincre Musclor de se taper un japonais ( façon de parler ) et un petit film dans la foulée. J’ai ramé mais j’ai réussi…
J’ai les boules. Maintenant je n’ai plus le droit aux tarifs jeunes pour les séances de ciné. Je n’ai pas non plus de Comité d’Entreprise à mon travail donc pas de réduction possible. Autrement dit, je paye plein pot mes places de cinéma. Et à l’UGC, c’est quand même la coquette somme de 10,20 € qu’il faut débourser pour avoir le plaisir…