Je pourrais écrire une thèse sur mes poils. Depuis l’adolescence, je cherche par tous les moyens à supprimer ces intrus qui me rendent toute velue.
N’exagérons rien pour autant : je n’ai rien de Chewbacca. Mais je dois avouer que Foresti avait raison : les gars qui ont conçu les femmes, c’est pas possible, ils ont dû se gourrer quelque part pour nous coller des saletés de pwals partout sur le corps.
J’ai à peu près tout testé en matière de destruction pileuse : depuis le rasoir quand j’étais ado, à la cire chaude en institut quand je n’avais qu’une modeste confiance en mes capacités de Lire la suite