Voici la suite des piercings de nombril que je vous propose à la vente.
A 16 ans, je me rappelle parfaitement avoir tanné mes parents pour obtenir l’autorisation de me piercer le pif. Ce qui me semblait indispensable à ma survie à ce moment-là a sauté 2 ans après, quand à 18 ans et n’ayant plus besoin d’autorisation parentale, je me suis faite trouer la langue.
Ressemblant alors à un sapin de Noël, j’ai préféré garder mon piercing de langue, plus discret, et laisser se reboucher le trou de mon nez. Dix ans après, j’en ai conservé un stigmate.
Des années plus tard, un poto que nous nommerons sobrement Louis-Philippe Lire la suite