Pendant la puberté et comme tout adolescent normalement constitué, j’ai eu ma dose de gros boutons dégueus purulents. Par la suite, les hormones ont ralenti leur rythme de folie pour ne plus se pointer qu’une fois par mois, pendant la période sanglante des coquelicots. Mais je m’estimais déjà heureuse de ne pas être affublée d’un joli sobriquet comme «Biactol» «champ…