A blue light in the darkness : mon premier Saran Wrap ( foireux ) !

Cette semaine, la manucure de la Paillette Frondeuse m’a électrisée. La miss avait même eu la bonne idée de détailler un petit tuto dans son article sur une technique nawakisante : le Saran Wrap.

Ca avait l’air fastoche.

Alors hier soir, je me suis lancée avec mes boulettes de cellophane, mon bouchon et ma pince à épiler. Et vu la météo toute pourrie à Paris, je n’ai pas hésité à utiliser des couleurs foncées.

Au final, ce n’est pas si facile que ça. Je pense que Daminou, assistant d’un soir,  a un peu trop compacté les bouboules de cellophane. Et l’utilisation d’un bouchon de liège au lieu d’un plastique n’a peut-être pas été très heureuse.

Bref. Le résultat me plaît malgré tout, même si ce n’est pas précisément ce à quoi je m’attendais. Mais pour un premier essai, je m’attendais à un truc beaucoup p plus dégueu. Là ça peut aller.

Le Nero est un vrai bonheur à utiliser : facile à appliquer et surtout opaque en une seule couche, c’est le noir fétiche que j’adore utiliser !

Le truc gégé avec cette technique, c’est qu’elle est ultra rapide à réaliser. En 2 minutes, on se fait les 10 griffes sans s’énerver le moins du monde.

L’effet « au hasard » me plaît beaucoup et je trouve que le bleu métallique donne vraiment une touche mystique à cette manucure. Bon, je me suis un peu lâchée sur l’index, beaucoup plus bleu que les autres. Au final j’obtiens plus un effet marbré qu’un véritable Saran Wrap qui se respecte.

Mais Musclor n’y a vu que du feu : il kiffe.

Enfin, j’apprécie que le matériel soit à la portée de n’importe quelle pouffe : pas besoin de stamper, nul besoin de pinceaux ni d’avoir 10 ans de nail-art derrière soit pour obtenir un résultat correct.

Moi je suis conquise, même si je dois encore parfaire la technique car j’aimerais qu’on voie + de « stries » du cellophane. En tout cas je remercie chaleureusement la Paillette Frondeuse qui est une source intarissable d’inspiration 🙂

Vous aimez le Saran Wrap, vous ?