♪ – Mon MAC à moi (4), je l’emballe comme je veux, quand je veux, où je veux ♪

MAC4

Aujourd’hui Psychou nous propose de présenter les titres phare qui permettent de serrer. Oui aujourd’hui on dit serrer ma caille, emballer c’est obsolète même si ça veut dire pareil.

J’ai une confession à vous faire : quand j’étais ado, on peut pas dire que j’emballais des masses. A vrai dire, je m’emballais dans les études et j’étais loin d’être une nana branchée, préférant me plonger dans mes bouquins que plonger ma langue dans le gosier d’ados boutonneux.

Mais j’ai eu une autre période : l’après-lycée. Où là j’ai carrément compris que je pouvais jouer de mon sexe à piles sex-appeal et parvenir à mes fins. La musique a dès lors joué un rôle prépondérant durant mes années de débauche . Années pendant lesquelles je me suis employée à bien rattraper mes années de vide amoureux.

Mais bon, j’ai tout de même certaines valeurs. Ainsi je me rappelle parfaitement que mon premier amoureux, un vrai de vrai où on se bécote et tout  ( au lycée, oui j’étais à la bourre ) m’avait dédié cette chanson. J’ai d’ailleurs retrouvé, émue, dans mes vieilles affaires, nos lettres d’amour enflammées.

Durant mes années adolescentes, je me souviens parfaitement avoir écouté les SCORPIONS et contre toute attente, ce n’est pas le titre Still Loving You qui me dressait le + le poil d’émotions, mais le magnifique Always Somewhere. Je vous conseille vraiment de découvrir ce magnifique slow s’il ne vous évoque rien. C’est sur ce titre que j’ai ( vainement ) tenté de serrer quand j’avais 14-15 ans et qu’on organisait des booms avec des quarts d’heure américains.

Il s’est passé un truc après le lycée : je suis allée pour la première fois en boîte de nuit. J’y ai découvert un monde où toutes les extravagances étaient permises, où on pouvait danser sans craindre d’être trop jugé, où on pouvait séduire. Et là bim : c’était parti pour des années de sorties, parfois 3 fois par semaine. J’ai découvert que j’aimais danser. Je me suis même inscrite sur le tard, à 20 ans, dans une association de danse où je suis restée 6 ans ( et ça me maaaaanque ). Et mine de rien, pourvu que t’aies un bon déhanché et le sens du rythme, tu peux emballer facilement sur n’importe quel style musical.

Pour moi, incontestablement, THE titre où j’ai le plus séduit et emballé en dansant langoureusement mais en rythme, c’est l’ Intro d’ALAN BRAXE & FRED FALKE. D’ailleurs je l’écoute au moment où je rédige ce billet, et j’ai immédiatement envie de me déhancher devant Musclor :

Franchement, mes doigts et mes orteils ne suffiraient pas à compter le nombre de mecs tombés dans mes filets grâce à cette chanson ^^

Heureusement, par la suite ( mais bien plus tard ) je suis redevenue sage et ai découvert avec plaisir le trip-hop et surtout, grâce à ma professeur de danse, les titres magnifiques du français WAX TAYLOR. Le plus langoureux et certainement le plus efficace pour emballer, si tu cherches un titre dans ce genre-là, c’est ça :

Mais mon amour pour la house et la musique électro ne m’a jamais quittée, et s’il y a bien un titre où je pourrais me dénuder facilement devant un Musclor hébété qui regardait la téloche tranquille, c’est incontestablement la petite perle d’ AIR ( nan, y’a pas de jeu de mots ici ) appelée Sexy Boy. Un titre qui veut tout dire :

Après très sincèrement, je serais bien incapable de vous nommer TOUTES les chansons sur lesquelles mes charmes ont opéré. Je vais passer pour une croqueuse d’hommes sans scrupules, et pourtant… J’ai jamais forcé personne hein ^^

Je remercie donc la musique en général, et la house en particulier ( surtouuuut Alan Braxe ) , de m’avoir permis de découvrir que j’aimais la danse au point d’en pratiquer en association et de participer aux différents spectacles organisés. Mais surtout de m’avoir permis de tellement  emballer que je ne me rappelle plus de la moitié du nom de mes amants 😀

Comme une évidence,  j’ai rencontré Musclor en boîte de nuit et c’est une histoire qui dure, youpi  <3

0 réflexion sur “♪ – Mon MAC à moi (4), je l’emballe comme je veux, quand je veux, où je veux ♪”

  1. Rolala je ne me rappelle même plus sur quoi j’emballais, pardon serrais c’est vrai, quand j’avais 17 ans ! Je me rappelle vaguement d’une chanson (si on peut appeler ça une chanson) qui disait « il est interdit de crier, de sauter » blablabla, c’était nul mais tu avais l’impression d’être une rebelle et ça te faisait pousser des ailes ! La 1ère fois que j’ai embrassé mon copain c’était en boite aussi, que d’émotions !

  2. Quelle tombeuse !!! J’avoue que la house toussa c’est pas trop mon truc mais j’aime énormément danser aussi !!!

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